Ikari Buki Dorei

Nom : Buki Dorei

Prénom : Ikari

Surnom : Shuujin



Âge : Physiquement il semble avoir entre 17 et 19 ans.

Taille : Il doit mesurer entre 1,75 m et 1,80 m.

Poids : Environ 60 kilos.

Groupe sanguin : A

Rhésus : Positif


Apparence physique : Seules les personnes présentes lors de sa découverte on pus découvrir son corps meurtrit, sans qu'il n'y ai réellement de raisons connues. Son regard était, et est toujours inexpressif, bien que démontrant cependant une supériorité pesante. Son charisme suffit à alourdir l'ambiance à son arrivée dans une pièce. Ses cheveux se confondant entre le gris et le blanc, restent étrangement mi longs, sans qu'il n'ait besoin d'y faire quoi que ce soit. Bien que ne dormant très peu, la fatigue ne se lit jamais sur son visage. Toujours vêtu d’un large kimono sombre et blanc en accord avec ses cheveux qu'il ne quitte jamais. Son flanc gauche est déchiré, et on peut y voir en permanence un bandage. Un étrange collier orne son cou, qui fut le premier cadeau de son maître, le seul qu'il accepta. On peut également remarquer suivant l’angle duquel on le regarde une étrange cicatrice sur son œil droit, surmonté d’un pentacle, le signe des démons.
Caractère : Renfermé sur lui même, ne réagissant à rien d'autres qu'aux paroles de son maître, il reste immobile, et renfermé sur lui même, bien qu'il lui soit demandé parfois d'être ouvert. Même s'il fait partie du bon côté comme on aime à le dire, le doute persiste toujours sur le fond réelle de sa pensée. Jamais un sourire n'est venu s'inscrire sur ses lèvres, jamais il n'a semblait être heureux, bien qu'il se plaise à le dire en présence de son maître. Le dossier remis par l’orphelinat faisait remarque d’un jeune garçon qui se faisait toujours frappé par ses camarades, ne répliquant jamais, excepté cette fois là . . .

Ce qu'il aime / Ce qu'il n'aime pas : Il ne montre jamais le moindre ressentiment, ni lorsqu’il fut mélangé aux autres enfants, ni lors de son arrivée à l’école de magie.Il semblerait cependant porter un intérêt majeur à la confection du Fugu, ainsi qu'à la dégustation de celui ci.

Ses points forts / Ses points faibles : La seule raison qui le poussa à être envoyé dans cette école de magie fut l’étrange incident qui se déroula à l’orphelinat, mais on n’y reviendra plus tard.

Sa famille : Sa mère mourut le jour de l'accouchement, et son père mourut devant ses yeux . . .

Éléments : Bizarrement, lors du test de son appartenant à un élément, aucune réaction ne se passa de prime abord, puis le papier se mis à mourir rapidement . . . Aucun phénomène n'explique cela . . .


Sa biographie :

Iruka Fugou, 17 ans, jeune fille de la célèbre famille Fugou, propriétaire d’immenses terrains agricoles près de la frontière de Mongolie. Elevé par une tutrice, ne voyant que rarement sa mère, elle n'aimait se croire fille de cette femme qui vivait sous les richesses, et qui maltraitait le personnel se croyant tout permis. Elle préférait passer du temps avec ceux qui se considérait comme étant ses serviteurs, mais qu'elle considérait comme ses amis, à parler, s'amuser dans l'imposant jardin de leur luxueuse maison. Elle aimait les plaisirs simple, les animaux, bref c'était une jeune fille tout ce qu'il y avait de plus simples. Sa tutrice quant à elle n’était pas une tutrice traditionnelle, mais une exceptionnelle sorcière qui pris Iruka en tant qu’apprenti, développant un puissant pouvoir divinatoire. Cependant sa mère n'était en accord avec aucun de ses principes, et fini par renvoyer la tutrice, qu'elle estimait inutile après un travail sans résultats. Elle s'occupa elle même de l'éducation de sa fille, à qui elle avait tracé un avenir qui n'était pas le sien : elle devait être mariée à un riche et vieux propriétaire d'une marque de la région.

Eiki Tairyoku, 19 ans, paisible villageois, qui survivait aisément en faisant des courses dans les endroits les plus périlleux de Mongolie. Ayant sa propre petite habitation, étant un villageois actif, il participait à tous les travaux, et était quelqu'un d'aimer parmi ses compères. Bien qu'étant jeune, fougueux, il possédait cependant une sagesse digne des anciens, et sa réputation ne faisait plus à être démontrée. Il aimait jouer avec les enfants, préparer de bons plats, et faire la fête avec tous ses amis. Il aidait toujours son prochain, et n'appréciait guère l'arrivée d'étrangers dans un lieu si paisible. Il avait toutes les filles qu'il désirait, sans cependant en profitant, croyant au grand amour et au coup de foudre. Il préférait se réserver à cette femme qui ferait battre son coeur dès la première fois. Compréhensif, gentil, il n'attendait rien de personnes, et offrait son aide à quiconque semblait en avoir besoin, sans forcément la demander. Sans oublier qu’il était un puissant sorcier, maniant avec habilité et réussite les sorts les plus improbables, et les plus puissants.

Deux vies, deux destins semblant opposé, mais merveilleux. Deux personnes au coeur sur la main, la vie prête à être vécue. Cependant le dieu de la mort va en décider autrement. Aujourd'hui, Iruka et Eiki vont mourir.

Le froid hivernal de la montagne de Mongolie fait rage en cette saison, et les médicaments qui devaient parvenir pour faire face à l'épidémie semble avoir était égarés. Rien n'y personne ne peut prévoir combien de temps pourront tenir les enfants, les personnes âgées atteintes. Eiki, comme à son habitude ne compte pas laissait cette tempête approchante anéantir leur village, et malgré son pouvoir médical, rien n’y fait, cette maladie est bien plus puissante. Accompagné de ces deux meilleurs amis, ils partirent alors en direction de la grande ville, afin de se fournir en soin. Prêt à partir, il engage la marche rapidement afin d'anticiper au plus vite la tempête, et être de retour dès que possible. Cependant, la mort, qui surveille de prêt ce jeune garçon qui semble comme un autre, accélère les choses, et au bout de 4 heures de marches, la tempête se retrouve finalement juste au dessus de leur tête. Tous accrochés par une corde, aucun d'entre eux ne peut être en danger, sous la protection de l'autre. Ne voyant rien aux alentours, ni à leur position, la corde sera finalement rompu à cause d'un éboulement impromptu, et Eiki qui menait la troupe se retrouve isolé, tombant, emporter par une avalanche. La fin semble proche . . .

21h. Le bal commence. Depuis maintenant 3 semaines, des affiches sont placardées dans toute la région afin de convier les plus grands hommes de la région, mais également du pays. En effet, la mère d'Iruka à décider de marier sa fille au plus vite, afin d'en faire une jeune mariée convenable. Des invitations furent envoyés partout, et les réponses affluées pour la jeune fille à la beauté exquises. Sous les ordres de sa mère, bien plus sévère et impressionnante que n'importe qui, Iruka se taisait, observant son destin, sa vie lui filait entre les mains. Tous les serviteurs avait été viré, et de nouveaux étaient arrivés, et n'avait pour ordre de ne jamais parler à la jeune fille sous peine de punition. Personnes n'avaient osés se dresser contre cette femme qui effrayait quiconque. Habillée dans une magnifique robe pour l'occasion, afin de trouver l'époux, la jeune fille, qui s'était isolé, laissait désormais les larmes coulaient le long de son si beau visage. Les employés qui ne pouvaient endurés plus que cela, aidèrent la jeune fille à fuir, retardant toutes recherches, prétextant qu'elle s'était enfermée dans sa chambre. La jeune fille quant à elle fuyait sur un cheval qui en perdait petit à petit haleine, mais qui puisait dans ces dernières ressources afin d'aider celle qu'il aimait tant. Non loin de là, une tempête d'une fureur éclatante s'approchait. La jeune fille, perdue au milieu des bois ne savait que trop faire, ni vers où se diriger. Finalement elle perdit espoir, et s'effondra de fatigue au beau milieu de la tempête.

Cependant, la mort les gagnant chacun, leur rencontre se rapprochant, et de cette rencontre allait naître leur survie, leur amour, et bientôt un futur qui n'était perceptible par personne.

Eiki emportait par l’avalanche se rapprochait de la jeune fille, tandis que la mort semblait perdre peu à peu de sa puissance, au même titre que la tempête, qui s’arrêta soudainement, alors que le jeune garçon était étendu juste aux côtés de la jeune fille. Leurs yeux s’ouvrirent au même moment, et aucun d’eux ne savait où ils étaient. Leur regard se croisa, et ce fut le début de leur rencontre. Le cœur d’Eiki se mit alors à le réchauffer, non seulement lui mais également celui de la jeune fille, et des larmes coulèrent de chacun de leurs yeux. C’est comme s’il se connaissait depuis bien trop longtemps, que leur vie était enfin réunie, et qu’elle prenait sens maintenant. Ils s’enlacèrent longuement, avant qu’Eiki ne prenne conscience de sa mission. Les mots avaient été inutiles, il l’avait prise avec lui, et il serait maintenant inséparable. Quelques heures plus tard, il retrouva ses amis, et présenta la jeune fille, qu’il désigna comme la femme de sa vie. Ils retournèrent finalement au village, les médicaments en mains, et Eiki avec Iruka. Un immense et puissant halo de lumière bleu entoura non seulement les deux corps mais également la forêt entière, et illumina le ciel sur plusieurs centaines de kilomètres. Leur amour venait d’être scellé par la magie.

De cet amour naquit Ikari, un jeune garçon, qui sortit de l’ordinaire. Tout d’abord car à sa naissance il devint meurtrier contre son gré. En effet, par une sombre nuit, ne laissant qu’apparaître la pleine lune, sa mère le fit naître aux dépens de sa vie. Une vie pour une autre. Mais la vie qui venait de naître n’était pas comme les autres. En effet, une étrange marque, plutôt un tatouage, représentant un pentacle d’une beauté, et d’une perfection diabolique. Les sages-femmes furent tout d’abord surprises, puis effrayées, se rappelant d’une vieille légende que l’on croyait irréelle. Eiki savait également de quoi il s’agissait, et ne savait pas comment réagir. Il est dit que lors de la création de ce village, un démon avait empêché toute paix pour ce dernier, afin de se distraire, et qu’il tomba amoureux d’une jeune femme à la beauté divine, et à la puissance et la sagesse dévastatrices. Il lui demanda de l’épouser, et auquel cas d’une réponse positive il épargnerait alors le village. Elle accepta à la condition qu’il trouve d’abord un tatoueur permettant de créer un pentacle d’une précision incroyable. Le démon parcourut alors le monde entier, sous l’apparence humaine, laissant le village en paix, à la recherche d’un tatoueur. Les années passèrent, et finalement la jeune femme mourut. La fin de cette légende raconte que le jour où un enfant naitra avec la marque du dragon, le malheur viendra s’abattre sur le petit village de Mongolie. Tous ces mots revinrent alors en tête d’Eiki, qui ne savait quelle attitude avoir. Le secret fut tout d’abord dissimulé, et les sages-femmes en firent finalement part aux anciens du village, qui convoquèrent Eiki, ainsi que son petit garçon. Il fut étudier tel une bête de foire pendant plusieurs jours, et la décision fut longue à être prise. Ils optèrent finalement pour l’acceptation du jeune garçon, laissant de côtés cette stupide légende. Malheureusement cela n’était pas du goût de l’ensemble du village qui n’appréciait guère la présence d’Ikari. Mais après plusieurs années de vie commune, et l’observation d’aucun changement apparent, Ikari fut rapidement considéré comme l’un des leurs. Durant 6 années, il fut élevé par son père, qui s’y prit étonnamment bien, puisqu’il fit un garçon gentil et doux, bien qu’étant parfois curieusement pris de pertes de consciences. Mais la légende rattrapa bien vite le jeune garçon, alors que le pays entrait bientôt dans une guerre ésotérique sans précédent, faisant plus de morts chaque jour, plus de victimes innocentes chaque minutes. Le village fut bientôt envahit par un petit groupe d’étrangers, venu en quête de territoire. Un groupe de villageois mené par Eiki parvint à arrêter non sans mal le groupe, mais une deuxième vague bien plus puissante arriva, et ils ne purent faire face. Ikari, caché dans une cave dissimulé, ne pouvait que contempler l’horreur de la scène. Femmes, enfants, vieillards, tous étaient tués sans la moindre pitié. Lorsque les cris semblèrent loin, Ikari sortit, cherchant son père dans des cris désespérés. Il le trouva finalement, le corps inerte, recouvert de sang. Il tomba à genoux, ses larmes coulant sans qu’il ne puisse s’arrêter. Sa colère, sa puissance montait, à chaque larme qui tombait. Un sorcier maléfique, d’un haut grade, qui passait afin de voir l’étendu des victoires pressenti le pouvoir qui attendait ce jeune garçon, il devait en faire un soldat. Il s’approcha de lui, dans l’innocence la plus totale, et lui proposa de lui ramener son père. Après quelques minutes d’incantation, un squelette sorti du sol, et une voix qui était celle de son père sorti alors de la bouche du crane.

« Qu’as-tu fait Ikari, tu savais qu’en faisant je me retrouverais comme cela, à devoir te tuer pour utiliser ton corps, afin d’être un soldat du mal . . . »

Ikari acquiesça, mais il s’en fichait, il venait de retrouver son père. Maitrisant le mal qui était en lui, il ordonna à son fils de le tuer, qui ne put agir. Il fonça vers son père, et se colla à lui, pleurant à chaudes larmes et s’excusant. Mais au moment où le mal prit le dessus, le cours instant, il parvint à prendre possession d’une partie du corps d’Ikari : son bras droit ainsi que son œil droit, laissant une cicatrice. Une puissante lumière blanche fut alors émise du corps d’Ikari, et lorsqu’il se dissipa, le sorcier était écroulé par terre. L’âme de son père, ainsi que l’espoir de tout le village venait de le sauver. Ikari s’effondra alors dans un profond coma, de fatigue, mais également à cause de l’épreuve qu’il venait de passer. Mais ce qu’il ne savait pas encore, c’est qu’il venait de perdre toutes traces de pouvoirs ésotériques en lui, il ne pourrait désormais plus devenir un sorcier comme son père. Un moine errant trouva alors le corps du jeune garçon, et le déposa dans un orphelinat. Il se réveilla après une semaine de convalescence, sa vie ayant perdue toute joie, son esprit s’étant renfermé sur lui-même. Il fut rapidement intégrer au cours de la classe de son âge, bien qu’étant en large avance sur ces camarades. Il s’isolait toujours, étant la cible préférait des plus grands pour leur coups. Jamais il ne mettait mains ou genoux à terre, et c’est ce qui les agacés le plus, mais jamais il ne répliquait, et c’est pour cette raison qu’il prenait toujours des coups. Quand il ne se faisait pas frappé, il passait son temps à la bibliothèque, lisant des livres sur la magie, mais également de toutes les sortes. C’est ainsi qu’il se forgea une solide culture, finissant premier de classe, bien que ne participant jamais. Il utilisait les heures de classes comme moyen d’évasion pour son esprit, le laissant s’échapper dans les paysages de la petite ville. Mais le groupe de peste avait un plan afin de profiter de l’inaction d’Ikari. Et ce plan approchait à grands pas, tout comme le jour où il allait se retrouver exclu du mondes des humains. Le sonnerie venait de retentir, et il savait qu’avant d’aller manger, le groupe des 6 , comme ils aimaient à être appelé, aller se venger de ses quelques heures de cours. Ils emmenèrent Ikari, sans la moindre résistance dans une petite ruelle non loin située. Il l’entourèrent, et le plus vieux d’entre eux s’approcha d’Ikari, souriant sournoisement.

« Dis moi , jeune bouffon, peux tu me dire comme peux tu survivre, en ayant tués toi-même tes parents . . . Tu dois être fort quand même, devenir toi-même orphelin . . . Bravo monsieur l’assassin . . . »

Il leva alors un bras , tentant d’assener un coup directement au visage d’Ikari. Mais lorsqu’il le baissa pour atteindre sa cible, Ikari l’avait arrêté, et le serré de plus en plus fort. Il posa alors sa main droite sur son œil, laissant ses livres tomber sur la neige toute fraîche.

« Je ne suis pas . . . un . . . meurtrier . . . »

Lorsqu’il enleva sa main, on pouvait remarquer un étrange œil, un œil maléfique, qui effrayait celui qu’il regardait. Il asséna un puissant coup au garçon, qui se retrouva fracasser contre un mur, et tomba, inerte. Les autres garçons tentèrent alors de s’enfuir, et la scène qui suivit fut alors horrible. Quelques minutes plus tard, deux responsables de l’orphelinat arrivèrent, ayant entendu des cris. Ikari tenait fermement ses livres contre lui, les yeux plaqués vers le sol. Autour de lui, la neige était d’un rouge éclatant. Il ne restait que 3 garçons conscients, si l’on peut dire, bloquer dans un coin, pleurant entre leur genou. L’un d’eux avait les entrailles ouvert, quand aux deux autres, ils étaient inconscients, baignant dans leur propre sang. Les 5 survivants devinrent fous, et deux d’entre eux se suicidèrent. Les trois autres furent finalement internés, quand à Ikari, il fut placé dans un centre de redressement, pendant les 6 années qui suivirent. Au bout d’un certains temps, une découverte fut faite, à propos d’une mystérieuse école, et un étranger vint récupérer Ikari, qui pendant ses 6 années d’enfermement n’avait réussi qu’à se faire un seul ami : un serpent d’une étrange couleur, et d’un comportement étrange. Ce fut le seul animal avec qui il avait une sorte de complicité, et qu'il caché durant toutes ses années. Il en fit alors son seul ami, apprenant à vivre comme lui dans la nature si corrompu et sauvage.

Wow! Magnifique fiche! Rien à y redire.

Comme tu n'es pas capable de lancer des sorts et que tu n'as pas vraiment l'air sociable...tu serais mieux de venir dans mon bureau, j'ai une proposition à te faire...

Aucune maison.